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Rédigé par : Marie-Christine MICHEL, docteur en pharmacie, membre du Syndicat Français de la Physiologie Clinique, spécialiste des maladies infectieuses et de l’immunologie

Allergies et grossesse : la prise en charge par l’allergologue L’allergie est une réaction anormale et disproportionnée de défense de l’organisme à un antigène (des particules étrangères) rencontré dans l’environnement.

C’est pourquoi l’allergologue se veut être le garant de la bonne tolérance de l’allergène en question :

• Il fait le diagnostic d’allergie en recherchant les signes d’allergie ;

• Il met en place le traitement approprié : antihistaminiques, corticoïdes ;

• Il propose un suivi régulier à la mère et à l’enfant, pour les allergies alimentaires.

L’allergie est très fréquente chez les femmes enceintes. Le diagnostic d’allergie est souvent difficile et le traitement de l’allergie repose sur les antihistaminiques H1 de première génération, la corticothérapie et les immunosuppresseurs pour les allergies au niveau digestif. En cas de dermatite atopique ou d’allergie alimentaire aiguë, la corticothérapie et l’immunothérapie de soutien sont souvent prescrites.

En cas d’allergie alimentaire, il est nécessaire de surveiller l’évolution de la maladie afin de ne pas surcharger le système immunitaire. En effet, l’allergie, qu’elle soit alimentaire, médicamenteuse ou liée à un terrain allergique, a pour origine une anomalie du système immunitaire.

Lorsque le diagnostic est fait et que la prescription est effectuée, le traitement est bien codifié. Le mode de traitement dépend de plusieurs facteurs :

  • Le type d’allergie,
  • Le degré d’allergie,
  • L’intensité de la réaction,
  • Les complications,
  • L’âge et le stade de la grossesse.

En cas d’allergie alimentaire, la prescription d’immunothérapie de soutien est très importante. Elle est en effet recommandée dans les cas d’allergie au lait de vache ou à tout aliment contenant des protéines ou de la lactose. Les immunosuppresseurs sont également préconisés, en cas d’allergie à la pénicilline ou à l’ergotamine par exemple, car ils diminuent la production de cytokines (une réponse immunitaire inappropriée).

Allergie alimentaire

Chez la femme enceinte, les risques sont liés à la consommation d’aliments potentiellement allergènes pour le bébé à naître. La surveillance de la mère et de son entourage est indispensable.

Les symptômes allergiques apparaissent généralement 2 à 6 semaines après la prise du médicament. Ils sont caractérisés par la survenue d’un ou plusieurs des signes suivants :

  • Des éruptions cutanées avec démangeaisons ;
  • Une urticaire ;
  • Une rhinite ;
  • Une asthénie ;
  • Une fièvre ;
  • Des maux de tête ;
  • Une diarrhée.

Les allergies au lait de vache sont fréquentes : environ 3 % de la population française en souffre régulièrement. Les aliments les plus fréquemment impliqués dans les allergies au lait de vache sont les produits laitiers et le lait de vache. Dans 50 à 75 % des cas, l’allergie est réversible, c’est-à-dire que la réaction allergique disparaît après l’arrêt de la consommation.

Allergie médicamenteuse

Une allergie médicamenteuse est une réaction anormale et excessive à un médicament : le mécanisme est le plus souvent une réaction d’hypersensibilité retardée.

Les médicaments les plus fréquemment impliqués dans les allergies médicamenteuses sont les antibiotiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les hypnotiques : aspirine, ibuprofène, diclofénac.

Les allergies médicamenteuses sont également fréquentes chez les femmes enceintes. Elles sont en général moins graves et moins invalidantes que les allergies alimentaires.

Les signes d’allergie médicamenteuse sont très variables et peuvent être nombreux :

  • Les signes digestifs,
  • Les troubles du rythme cardiaque,
  • Les troubles de la conscience,
  • Les troubles du sommeil ou du comportement,
  • Les céphalées,
  • Les troubles urinaires,
  • Les troubles des règles.

Allergie de contact

L’allergie de contact se manifeste par des démangeaisons importantes au niveau de la peau et des muqueuses, une dermatite de contact, des lésions érythémateuses ou papulovescentes, des troubles de la pigmentation de la peau ou des muqueuses (démangeaisons des lèvres, du nez ou des yeux, lésions de grattage).

L’allergie de contact peut être provoquée par une exposition à des allergènes ou à des produits chimiques. Il existe différents types d’allergies de contact.

L’allergie de contact médicamenteuse est très rare. Elle est due à la présence dans la peau de substances médicamenteuses (antibiotiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens, antihypertenseurs). Il s’agit le plus souvent de collyres (antiseptiques pour les yeux).

L’allergie de contact alimentaire est très fréquente : environ 10 % de la population. Elle concerne la plupart du temps des produits laitiers tels que le lait, la poudre de lait, le yaourt, le beurre, le fromage, la crème fraîche, la crème chantilly, le fromage, le lait concentré et le ketchup. Elle peut également concerner d’autres produits (glucose, sucre, amidon...).

Les allergies de contact sont de nature épidermique ou dermique.

Les symptômes de l’allergie de contact sont variables et peuvent être :

  • Des rougeurs,
  • Des démangeaisons,
  • Des picotements,
  • Des lésions,
  • Des brûlures,
  • Une sécheresse de la peau,
  • Des rougeurs ou une sensation de brûlure au niveau de la peau,
  • Des sensations de froid,
  • Des sensations de démangeaisons ou de picotements,
  • Une desquamation de la peau,
  • Des ecchymoses,
  • Des lésions de grattage,
  • Des ulcères,
  • Une sensation de brûlure ou d’irritation.

Allergie à l’aspirine

L’aspirine est un anti-inflammatoire non stéroïdien, c’est-à-dire qu’il ne contient pas de principe actif actif synthétique. Le principal principe actif de l’aspirine est l’acide acétylsalicylique, qui appartient à la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens.

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont utilisés pour traiter la douleur, l’inflammation et l’œdème. Ils permettent également de réduire la fièvre et de soulager les maux de tête.

Les symptômes de l’allergie à l’aspirine sont très variables. Ils peuvent être :

  • Les rougeurs, les démangeaisons, les brûlures, les sensations de démangeaisons ou de picotements, les lésions, les ecchymoses, les ulcères et l’irritation.
  • Les troubles digestifs, intestinaux, gastriques et urinaires.
  • Les troubles de la vue.
  • Les troubles de la peau.
  • Les troubles du rythme cardiaque.

Allergie au paracétamol

Le paracétamol est un médicament antipyrétique et anti-inflammatoire non stéroïdien, qui appartient à la famille des antalgiques et des antipyrétiques. Il est utilisé dans le traitement de la fièvre et de la douleur.

Les symptômes de l’allergie au paracétamol sont très variables :

  • Les démangeaisons,
  • Les sensations de brûlure, de chaleur, de tiraillement, de piqûre, de démangeaisons,
  • Les éruptions cutanées,
  • Les troubles du sommeil,
  • La fatigue,
  • La diarrhée,
  • Le manque d’appétit.

Allergie aux cosmétiques

Les allergies aux cosmétiques se manifestent sous la forme d’allergies de contact, d’allergies de contact médicamenteuse, d’allergies médicamenteuses et d’allergies de contact alimentaire.

1 L’évolution de la situation de l’équivalent d’Augmentin (Augmentin°, AMF°) de la molécule, le plus vendu sous son marque, s’explique par des répercussions sur les patients. Il peut, par exemple, être administré à des patients présentant une syndrome de la dysfonction sexuelle (SDH), une perte d’éjaculation (PE) ou une trouble de la libido (TDL).

2 Le risque d’avoir des relations sexuelles répétées à une sécrétion prostatique est augmenté de 50 % par rapport au risque de dysfonction érectile. Il peut être observé dans les cas de dysfonction sexuelle précoce ou précocement, dans certains cas, d’une malformation de la vue (MDPV) ou d’un trouble de la votériode pénienne.

3 Le risque d’avoir des relations sexuelles à une est élevé de 50 % de plus que dans le cas de dysfonction érectile et de dysfonction érectile précoce. Pour deux raisons, c’est-à-dire, l’incidence des dysfonctionnements érectiles est plus élevée en fonction des circonstances épidémiologiques.

4 Le risque d’avoir des relations sexuelles prématurées avec des acteurs sexuels reste augmenté de 40 % en cas de dysfonction érectile. Le risque de dysfonction érectile se révèle moins que dans le cas de dysfonction érectile précoce ou de dysfonction sexuelle. Les autres mécanismes de dysfonction érectiles peuvent également être perturbés par des problèmes psychologiques, comme la consommation de drogues ou de drogues, l’utilisation à long terme des médicaments ou des substances chimiques, la prise d’un médicament (pour une durée d’au moins trois mois) ou encore la prise de drogues. C’est un problème majeur dans lequel le traitement médical de la dysfonction érectile peut entraîner des complications. Enfin, le traitement médical de la dysfonction sexuelle précoce peut entraîner des problèmes psychologiques, notamment psychologiquement, comme l’inhibition de la , ou encore la dépression, voire, dans ce cas, des troubles de la Les troubles psychologiques peuvent être aggravés par la consommation de drogues et/ou de drogues, ou à des doses trop élevées.

5 Pour le traitement de l’impuissance sexuelle, la pénétration et la concentration de l’érection sont également associées à des problèmes d’éjaculation ou de testostéroneIl y a un risque d’éjaculation retardée de 40 % chez les hommes de plus de 50 ans.

Environ 25% des patients souffrant d'insuffisance cardiaque, maladies chroniques, maladies cardiovasculaires ou hépatiques sont atteints de déficit en G6PD. La régression de la maladie est souvent liée à la prise de certains médicaments comme le diurétique, la classe médicamenteuse, la riociguat et l'insuline. Cette augmentation de la mortalité est souvent associée à un déficit en G6PD par les médicaments utilisés dans le traitement de la maladie, en particulier par les patients souffrant de déficit en G6PD, comme l'insuffisance cardiaque congestive ou une maladie coronarienne. Dans le cadre d'une revue systématique et clinique, le profil de sécurité et de tolérance est réglementé.

Les médicaments de la classe des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont une classe majeure, avec plus de 30% de risque de décès, mais seulement 3% à un âge avancé, ceux qui ont été prescrits en complément d'un traitement médicamenteux par voie orale. Leur efficacité clinique et l'innocuité du traitement sont les critères principaux, ainsi que les limites de l'efficacité des IPP et d'un traitement à base d'un médicament.

Les IPP, comme tout autre inhibiteur de la pompe à protons (IPP) sont utilisés pour traiter le système nerveux central (SNC) chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque congestive, maladies cardiovasculaires ou hépatiques. L'utilisation de ces traitements pourrait être liée à une augmentation de la mortalité. La régression de la maladie est souvent liée à la prise de certains médicaments comme le diurétique, la classe médicamenteuse, la riociguat et l'insuline. Cette augmentation de la mortalité est souvent associée à un déficit en G6PD par les médicaments utilisés dans le traitement de la maladie, comme l'insuffisance cardiaque congestive ou une maladie coronarienne.

Ces effets secondaires sont généralement bénins et peuvent être présents en cas de maladie sévère ou d'hypoxie pulmonaire.

La riociguat et l'insuline sont connus pour leurs effets bénins sur la santé cardiovasculaire et le développement neuronale, en particulier chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque congestive. En cas de maladie coronarienne, ils sont généralement associés à une insuffisance cardiaque congestive.

Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont des médicaments d'ordonnance qui sont généralement utilisés pour traiter le SNC (souvent associés à des médicaments à base de méthylphénidate) ou des insulines. Cependant, avec les inhibiteurs de la pompe à protons, la classe des IPP n'a pas encore été identifiée dans les essais cliniques. Il y a de nombreuses études démontrent que les IPP sont tout à fait adaptés à ces pathologies, mais aucune étude n'a montré que les IPP aient un impact important sur la mortalité chez les patients souffrant de déficit en G6PD.

Le traitement par les IPP n'est pas encore disponible en automédication.

Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés après la prise d’antibiotiques varient en fonction des spécialités de la pharmacie et des recommandations du médecin. Le plus souvent, ces effets indésirables sont très rares.

Parmi ces effets indésirables listés ci-dessous, on retrouve :

  • Une fièvre
  • Des démangeaisons
  • Des douleurs musculaires
  • Une augmentation de l’audition
  • Une diminution de la tension artérielle
  • Des maux de tête
  • Une éruption cutanée
  • Une éosinophilie
  • Une augmentation des enzymes hépatiques
  • Des troubles digestifs

Les effets indésirables rares sont également listés ci-dessous.

Très fréquent (plus de 1/10)

Fréquent (1 à 1/10)

Peu fréquent (0 à 1/10)

Rare (0 à 1/10)

Très rare (0 à 1/100)

Très rare (0 à 1/10 000)

Très rare (0 à 1/10 000) 

Peu fréquent (0 à 1/10 000)

Fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)

  • La fièvre est fréquente et plus de 4% des cas de survenue de gastro-entérite ont été observés chez des personnes âgées (risque de développer une maladie auto-immune, avec de très rares réactions d’hypersensibilité et une survenue possible de toxicité digestive liée à l’âge),

Une fois la survenue possible, un traitement médical est nécessaire, si nécessaire.

Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés après la prise d’antibiotiques sont les suivants:

  • Des éruptions cutanées;
  • Une rougeur de la peau
  • Des douleurs abdominales
  • Une nausée;
  • Des troubles de la mémoire;
  • Des troubles d’équilibre (démangeaisons, douleurs abdominales) et/ou des changements de la température corporelle.

Des éruptions cutanées et/ou des douleurs articulaires sont fréquemment rapportées. Ces symptômes sont généralement réversibles. Elles peuvent être dus à des facteurs comme la rétinite pigmentaire, ou à une pathologie auto-immune ou immunologique (par exemple, une insuffisance rénale sévère, un diabète ou une maladie de l’intestin). Il est recommandé de surveiller la réponse immunitaire, en particulier de la glycémie, afin de déterminer si ces symptômes sont de nature grave ou récidivants.

Les informations relatives aux précautions d'emploi (interactions médicamenteuses, contre-indications, mises en garde spéciales, effets indésirables...) ainsi que la posologie sont détaillées par la notice du produit.

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